• Il était une fois, Anna Boch

  • 2023/02/27
  • 再生時間: 28 分
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Il était une fois, Anna Boch

  • サマリー

  • On est au 19ème. Les Boch, c’est une famille de faïenciers qui provient du bassin de la Sart en Allemagne. Quel rapport avec la Wallonie me direz vous ? Et bien, en 1830, c’est l’indépendance de la Belgique et du coup, les Boch perdent leur clientèle belge. Mais sur les conseils de son beau frère, Victor Boch décide de s’installer à la Louvière avec toute sa famille et ses ouvriers. Pourquoi la Louvière? Parce qu’il y a du charbon à foison et que pour faire de la céramique, ben grossièrement il faut de la terre et du feu. Tout ce petit monde déménage, bouge et c’est ainsi que le quartier des Allemands nait. C’est dans cette petite agglomération, qu’en 1848, Anna voit pointer le bout de son nez. 


    Il était une fois Anna Boch. 


    Bon, les Boch, on va pas se mentir : c’est une famille riche, ils vendent bien, le nom est réputé à l’international. Et comme dans toute bonne famille bourgeoise, Anna va recevoir une éducation liée aux arts : on va lui apprendre, le dessin, la musique, et la peinture. Mais à l’époque, au 19ème, ce type d’éducation est hyper patriarcale : on suppose que si la jeune femme est sensible aux arts, alors, elle sera délicate, soignée et bonne maitresse de maison. L’idée d’éveiller une vocation artistique n’est pas vraiment l’objectif d’une telle formation. Sauf qu’Anna Boch, elle est différente des autres… 



    Et pour cet épisode, comme vous l’aurez entendu, c’est tout un petit monde qui a répondu à notre micro. D’abord, la voix principale, c’est Nathanael Thiry. Il est responsable communication au Keramis Museum">Keramis Museum et un grand amoureux de la culture qui nous partage avec passion ! On remercie aussi Benoit Goffin, conservateur au MILL de La Louvière">MILL de La Louvière et Davy Depelchin, conservateur aux Musées Royaux des Beaux Arts de Belgique">Musées Royaux des Beaux Arts de Belgique


    “Il était une fois nos femmes wallonnes”, est une série de podcasts qui part à la découverte de femmes qui ont marqué et marquent l’histoire de la Wallonie. Qu’elles soient cyclistes, chocolatière ou actrice, es badass d’hier et d’aujourd’hui, rayonnent  sur notre matrimoine wallon.  


    Cette série est une création originale du studio Ultra Vagues">Ultra Vagues, soutenu par Start’Invest">Start’Invest. A l’interview, Héloïse Rouard. A l’écriture et au montage, Cassi Henaff. Au mixage, Marius Adam. A la prise de son, Anne-Sophie Skietechat et Noemy Laloux. A L’interprétation, Gaëlle Swann">Gaëlle Swann. Les visuels sont de Gilda Fêlée">Gilda Fêlée. Et la voix-off, Jessica Riga">Jessica Riga.


    Lien vers l'audiodescription de cet épisode : ICI. 


    Sources : 

    Les musiques proviennent de la plate-forme Soundstripe, sous licence payante. 

    • Tinamina - Lets get this money
    • Ghost Beat - Offseason 
    • DLP - Dooms day
    • Nu Alkemi’t - KO 
    • Fairlight - Clear

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あらすじ・解説

On est au 19ème. Les Boch, c’est une famille de faïenciers qui provient du bassin de la Sart en Allemagne. Quel rapport avec la Wallonie me direz vous ? Et bien, en 1830, c’est l’indépendance de la Belgique et du coup, les Boch perdent leur clientèle belge. Mais sur les conseils de son beau frère, Victor Boch décide de s’installer à la Louvière avec toute sa famille et ses ouvriers. Pourquoi la Louvière? Parce qu’il y a du charbon à foison et que pour faire de la céramique, ben grossièrement il faut de la terre et du feu. Tout ce petit monde déménage, bouge et c’est ainsi que le quartier des Allemands nait. C’est dans cette petite agglomération, qu’en 1848, Anna voit pointer le bout de son nez. 


Il était une fois Anna Boch. 


Bon, les Boch, on va pas se mentir : c’est une famille riche, ils vendent bien, le nom est réputé à l’international. Et comme dans toute bonne famille bourgeoise, Anna va recevoir une éducation liée aux arts : on va lui apprendre, le dessin, la musique, et la peinture. Mais à l’époque, au 19ème, ce type d’éducation est hyper patriarcale : on suppose que si la jeune femme est sensible aux arts, alors, elle sera délicate, soignée et bonne maitresse de maison. L’idée d’éveiller une vocation artistique n’est pas vraiment l’objectif d’une telle formation. Sauf qu’Anna Boch, elle est différente des autres… 



Et pour cet épisode, comme vous l’aurez entendu, c’est tout un petit monde qui a répondu à notre micro. D’abord, la voix principale, c’est Nathanael Thiry. Il est responsable communication au Keramis Museum">Keramis Museum et un grand amoureux de la culture qui nous partage avec passion ! On remercie aussi Benoit Goffin, conservateur au MILL de La Louvière">MILL de La Louvière et Davy Depelchin, conservateur aux Musées Royaux des Beaux Arts de Belgique">Musées Royaux des Beaux Arts de Belgique


“Il était une fois nos femmes wallonnes”, est une série de podcasts qui part à la découverte de femmes qui ont marqué et marquent l’histoire de la Wallonie. Qu’elles soient cyclistes, chocolatière ou actrice, es badass d’hier et d’aujourd’hui, rayonnent  sur notre matrimoine wallon.  


Cette série est une création originale du studio Ultra Vagues">Ultra Vagues, soutenu par Start’Invest">Start’Invest. A l’interview, Héloïse Rouard. A l’écriture et au montage, Cassi Henaff. Au mixage, Marius Adam. A la prise de son, Anne-Sophie Skietechat et Noemy Laloux. A L’interprétation, Gaëlle Swann">Gaëlle Swann. Les visuels sont de Gilda Fêlée">Gilda Fêlée. Et la voix-off, Jessica Riga">Jessica Riga.


Lien vers l'audiodescription de cet épisode : ICI. 


Sources : 

Les musiques proviennent de la plate-forme Soundstripe, sous licence payante. 

  • Tinamina - Lets get this money
  • Ghost Beat - Offseason 
  • DLP - Dooms day
  • Nu Alkemi’t - KO 
  • Fairlight - Clear

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