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サマリー
あらすじ・解説
Tout commence à Tournai. En 1872, une famille plutôt traditionnelle donne naissance à Eugène et 5 ans plus tard, c’est Hélène qui nait, le 10 juillet pour être précise. La famille Dutrieu déménagera à Lille, à quelques dizaines de kilomètres de leur première maison. Comme beaucoup d’enfants, Eugène adore faire du vélo. Et lorsqu’il court sur la piste, sa soeur le suit. D’ailleurs, quand lui n’y va pas, subtilement, elle lui emprunte (pour ne pas dire vole) son vélo pour faire des tours de terrain. Et de manière plutôt inattendue, c’est Hélène qui se fera remarquer parce que ce petit bout de femme, âgé d’une dizaine d’années seulement, se révèle être très rapide sur un deux roues. Quelques années plus tard, alors qu’ils feuillettent tous les deux le journal, ils lisent qu’à Paris, une femme a battu le record du monde de vitesse en vélo. Eugène, premier fan de sa frangine, assure qu’elle pourrait battre ce dernier record. Elle teste, et en effet, elle l’explose ! Problème, c’est qu’on ne la croit pas. Elle réitèra donc son exploit lors d’une course homologuée. Il était une fois Hélène Dutrieu Je ne vous l’ai pas dit, mais elle n’a que 14 ans quand elle réalise cette véritable prouesse. Paris lui somme de venir à la capitale, ses parents s’y opposent. Mais Hélène, déterminée et plutôt casse-cou, enfourche son vélo, prend le train, arrive à Paris et cherche le vélodrome Buffalo. Ce sera donc le début d’une carrière incroyable pour la jeune tournaisienne. —Le passionné que vous venez d’entendre, c’est Gunter Segers">Gunter Segers. Il a passé de nombreuses années à collecter des milliers d’articles, vidéos, textes, visuels à propos d’Hélène Dutrieu. Son ouvrage">Son ouvrage, entièrement consacré à la tournaisienne, est certes en néerlandais mais un puits de souvenirs pour se replonger dans l’histoire. C’est d’ailleurs grâce à lui que nous avons pu récupérer la voix de notre chère Hélène">notre chère Hélène… Un grand merci aussi à Sophie Ducrotois des « Filles Celles Picardes">Filles Celles Picardes » pour l’interprétation de sa chanson Hélène sur la mélodie de La Grenade de Clara Lucciani. Merci aussi à Françoise Flabat, directrice du Centre de la Marionnette">Centre de la Marionnette et Conservatrice du Musée des arts de la Marionnette de Tournai pour son accueil.“Il était une fois nos femmes wallonnes”, est une série de podcasts qui part à la découverte de femmes qui ont marqué et marquent l’histoire de la Wallonie. Qu’elles soient directrice d’école, artiste ou militante, ces badass d’hier et d’aujourd’hui, rayonnent sur notre matrimoine wallon. Cette série est une création originale du studio Ultra Vagues">Ultra Vagues, soutenu par Start’Invest">Start’Invest. A l’interview, Héloïse Rouard. A l’écriture et au montage, Cassi Henaff. Au mixage, Marius Adam. A la prise de son, Anne-Sophie Skietechat et Noemy Laloux. A L’interprétation, Gaëlle Swann">Gaëlle Swann. Les visuels sont de Gilda Fêlée">Gilda Fêlée. Et la voix-off, Jessica Riga">Jessica Riga.Lien vers l'audiodescription de l'épisode : ICI Sources : Les musiques proviennent de la plate-forme Soundstripe, sous licence payante. Tinamina - Lets get this moneyDresden the Flamingo - A swell carousel Jessguy - Untouchable Ghost Beatz - Legends never dieShimmer - A good heartDresden the Flamingo - Kind Hearted Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.