Des parfums pour lutter contre les insectes ravageurs, et cela, à travers le monde ?

C'est une nouvelle technologie unique et brevetée mise au point par la deeptech rennaise Agriodor que je vous propose de découvrir dans ce podcast. Celle-ci utilise certaines odeurs émises naturellement par les plantes répulsives pour remplacer les insecticides.

Lauréate French tech 2030, cette entreprise de biocontrôle est la seule au monde à intégrer des parfums sous forme de granulés qui sont épandables avec les machines actuelles des agriculteurs. Leur commercialisation sur betterave est d'ailleurs attendue pour 2025, belle alternative aux néonicotinoïdes !

Comment est née cette aventure entrepreneuriale menée par Ené Leppik, fondatrice d'Agriodor, Camille Delpoux, directrice du développement et Alain Thibault, CEO ?

De quelle manière cette start-up compte-elle apporter des solutions aux agriculteurs ?

Entre R&D et tests terrain, comment s'élabore un parfum répulsif ?

Entre spécialistes internationaux, IA... qu'est-ce qui permet d'aller vite dans l'innovation ?

Comment conquérir le territoire européen et dépasser les frontières à partir du territoire breton ?

Bienvenue dans l'environnement olfcatif d'Agriodor qui a levé 5 millions d'euros pour multiplier ses solutions agroécologiques.

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Cap sur l'Europe et au-delà !

Après 3 ans d'existence sur la marché français, Izysea vise l'étranger, notamment le Portugal et l'Espagne, pour devenir "le learder des services et des informations pour les ports de plaisance et les plaisanciers".

Comment est née l'application gratuite Izysea ? Entre recherche de location de vélos à quai, livraison de courses, réservation de skipper... Comment peut-elle vous simplifier la vie si vous êtes plaisancier résident ou en escale ? Comment fonctionne-t-elle ?

Zoom sur cette start-up bretonne qui fait partie de la 3ème promotion du programme Biz’activ, piloté par la technopole Vipe de Vannes, avec son dirigeant et co-fondateur Louis de Boislaville.

C'est sur le port de la Trinité-sur-Mer que le jeune homme m'a livré les clefs du succès de sa proposition de digitalisation de l’offre portuaire.

A tribord, toute ! Et bonne écoute...

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Il a enfin rejoint son port d'attache à St Malo ! L'opération de mâtage est actuellement en cours ; Grain de Sail II, le deuxième voilier cargo de l'entreprise bretonne Grain de Sail, doit être mis à flot en janvier prochain avant d'assurer sa première transatlantique.

Nouvelles prestations de services de transport entre New-York et St-Malo, efficacité logistique optimisée grâce à Grain de Sail logistics, unités de production des deux côtés de l'Atlantique... quelles sont les nouvelles ambitions de la startup, pionnière du transport maritime décarboné, avec ce nouveau navire de 52 mètres ? Comment les acteurs bretons Piriou, Lorima et L2O Naval ont-ils participé au rêve américain ? Jusqu'où ira la flotte Grain de Sail qui fait partie de l'association Wind Ship aux côtés de Neoline et Zéphyr & Borée ?

C'est au sein de la chocolaterie de Grain de Sail (pour les gourmands qui habitent le Nord, préparez vos papilles, une nouvelle chocolaterie va s'implanter à Dunkerque) que j'ai rencontré Jacques Barreau, co-fondateur et directeur général ainsi que Stefan Gallard, directeur marketing, pour en savoir plus sur les évolutions de cette société unique et exemplaire dans le domaine agroalimentaire, maritime, social et environnemental.

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Impossible de passer à côté des tablettes de chocolat Grain de Sail qui trônent un peu partout dans l'Ouest ! Avec son voilier cargo affiché sur son emballage, l'entreprise se distingue par son identité bretonne et ses valeurs. Comment expliquer le succès de ce projet breton qui s'exporte à l'international et a su montrer la voie dans le transport maritime décarboné ? Pour le savoir, je me suis rendue dans la chocolaterie de la start-up morlaisienne, l'occasion de faire une visite guidée avec Stefan Gallard, directeur marketing de Grain de Sail.

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Quels sont les procédés qui permettent aux algues d'être traitées et valorisées rapidement en produits finis pour la santé animale et végétale ?

Pour le savoir, j'ai posé mon micro au sein de la première bioraffinerie au monde qui traite actuellement 60 tonnes d'algues fraîches par jour en provenance de nos plages bretonnes. Hervé Balusson, fondateur d'Olmix, Pi Nyvall Collén, directrice scientifique du groupe et Philippe Potin,Docteur en biologie marine de l'Université de Brest et directeur de recherche CNRS à la Station biologique de Roscoff nous plonge au coeur de l'usine pour suivre l'extraction de cette matière première en 48h. L'occasion d'en savoir plus sur l'avenir du groupe Olmix entre fourniture d'ingrédients pour l'industrie, acquisition de la biotech Bois Valor et, en autres, la conquête des marchés nord et sud américains.

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L'innovation par les légumes de la mer... On les connaît depuis toujours en Bretagne et mènent leur bout de chemin avec succès pour conquérir le monde. Du moins, un monde où l'économie de carbone requiert toujours plus d'innovations, y compris lorsqu'elles sont puisées dans la nature. Les algues ne cessent d'être sources de recherches scientifiques et techniques pour son rôle clé dans la santé animale, végétale et humaine. Agriculture de transition, économie de carbone... En quoi la valorisation et l'industrialisation des algues en Bretagne et dans le monde entier est-elle nécessaire ? Quels sont les avantages ?

Pour le savoir, j'ai posé mon micro au sein de la Breizh Algae School, premier institut au monde consacré à l'or vert, pour rencontrer Hervé Balusson, fondateur d'Olmix(Bréhan), Pi Nyvall Collén, directrice scientifique du Groupe et Philippe Potin, Docteur en biologie marine de l'Université de Brest et directeur de Recherche CNRS à la Station Biologique de Roscoff.

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