• La nuit au musée

  • 2020/10/30
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  • サマリー

  • Aujourd'hui on va parler de LA NUIT AU MUSÉE, de Belphégor, du photographe Daniel Pype, des peintres de "Nocturnes", du philosophe Gaston Bachelard, de lumière et d'obscurité, de regard.

     

    Et d'architecture, d'imaginaire muséal et de toutes ces choses - petites ou grandes - qui font de la nuit au musée une expérience inoubliable.

     

    Peut-être que ce qui nous attire et nous fascine autant dans le fait de passer la nuit au musée - au Louvre ou ailleurs - et dans le film avec Ben Stiller, c'est d'être à la fois projetés HORS DU TEMPS "ordinaire" l'espace d'une nuit?

     

    De se retrouver parmi des êtres, des objets, des animaux qui deviennent plus proches, plus réels, dont on peut imaginer la vie à sa guise, sans le filtre de la rationalité et de la connaissance savante ?


    Tout alors, devient mystérieux, insondable, intense. La nuit fait de nous des METAPHYSICIENS et des DEMIURGES.


    Elle fait naître des vocations d'écrivains d'art, d'artistes, de médiateurs, de conservateurs, de photographes, etc. 


    Car les musées sont des mondes qui rêvent autant qu'ils font rêver, tant par le regard que par la voix, la VOIX DES CHOSES...

     

    Regarder une œuvre d'art lors d'une visite nocturne au musée, ou écrire / parler d'art à partir d'une IMAGE et non d'un LIEU = 


    Déploiement et repli de notre imaginaire, à la manière d'un ORIGAMI MENTAL

     

    Daniel Pype a-t-il rencontré Belphégor ?


    Il avoue que, dans les salles de l'Égypte, des ondes glaciales les traversèrent et que naquit en lui une certaine frayeur lorsqu'il photographia deux momies.

     

    "Les rêveries devant la chandelle se constitueront en tableaux. La flamme nous maintiendra dans cette conscience de rêverie qui nous garde éveillés. On s'endort devant le feu. On ne s'endort pas devant la flamme d'une chandelle".  in "La flamme d'une chandelle"  (Gaston Bachelard)

     

    "Il n'y a pas de STORYTELLING plus puissant, plus profond et plus prégnant que celui né de l'ombre. Tout ce que nos yeux ont vu - non pas grâce à la lumière, mais à cause de son absence - ce monde sans limites sinon celles de notre imagination, surgi de l'insaisissable, et qui est aussi celui de la merveille ".  (Ariane Kveld Jaks)

     

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あらすじ・解説

Aujourd'hui on va parler de LA NUIT AU MUSÉE, de Belphégor, du photographe Daniel Pype, des peintres de "Nocturnes", du philosophe Gaston Bachelard, de lumière et d'obscurité, de regard.

 

Et d'architecture, d'imaginaire muséal et de toutes ces choses - petites ou grandes - qui font de la nuit au musée une expérience inoubliable.

 

Peut-être que ce qui nous attire et nous fascine autant dans le fait de passer la nuit au musée - au Louvre ou ailleurs - et dans le film avec Ben Stiller, c'est d'être à la fois projetés HORS DU TEMPS "ordinaire" l'espace d'une nuit?

 

De se retrouver parmi des êtres, des objets, des animaux qui deviennent plus proches, plus réels, dont on peut imaginer la vie à sa guise, sans le filtre de la rationalité et de la connaissance savante ?


Tout alors, devient mystérieux, insondable, intense. La nuit fait de nous des METAPHYSICIENS et des DEMIURGES.


Elle fait naître des vocations d'écrivains d'art, d'artistes, de médiateurs, de conservateurs, de photographes, etc. 


Car les musées sont des mondes qui rêvent autant qu'ils font rêver, tant par le regard que par la voix, la VOIX DES CHOSES...

 

Regarder une œuvre d'art lors d'une visite nocturne au musée, ou écrire / parler d'art à partir d'une IMAGE et non d'un LIEU = 


Déploiement et repli de notre imaginaire, à la manière d'un ORIGAMI MENTAL

 

Daniel Pype a-t-il rencontré Belphégor ?


Il avoue que, dans les salles de l'Égypte, des ondes glaciales les traversèrent et que naquit en lui une certaine frayeur lorsqu'il photographia deux momies.

 

"Les rêveries devant la chandelle se constitueront en tableaux. La flamme nous maintiendra dans cette conscience de rêverie qui nous garde éveillés. On s'endort devant le feu. On ne s'endort pas devant la flamme d'une chandelle".  in "La flamme d'une chandelle"  (Gaston Bachelard)

 

"Il n'y a pas de STORYTELLING plus puissant, plus profond et plus prégnant que celui né de l'ombre. Tout ce que nos yeux ont vu - non pas grâce à la lumière, mais à cause de son absence - ce monde sans limites sinon celles de notre imagination, surgi de l'insaisissable, et qui est aussi celui de la merveille ".  (Ariane Kveld Jaks)

 

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