
Le modèle OLYMPUS, simulation de la pollution atmosphérique
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«Depuis un certain nombre d’années, l’OMS (Organisation Mondiale de Santé) a décrété la pollution de l’air comme cancérigène» affirme dans ce nouvel épisode d’IPSL News Arthur Elessa, postdoctorant au Laboratoire Interuniversitaire des Systèmes Atmosphériques (LISA) de l’IPSL.Si la pollution atmosphérique peut avoir des origines naturelles, elle est aujourd'hui largement liée aux activités humaines. Pour tenter d’y remédier, de nombreuses villes françaises instaurent des Zones à Faibles Émissions (ZFE). Mais ces mesures suscitent la controverse et se retrouvent aujourd'hui au cœur des débats sur l’aménagement urbain, accusées d'aggraver les inégalités sociales.
Conscients de ces enjeux, les chercheurs du LISA de l’IPSL se sont intéressés à cette problématique en développant des outils capables d'évaluer l'impact social des mesures comme les ZFE dans la modélisation des émissions de polluants.Une étude parue en 2018 nous explique le fonctionnement d’OLYMPUS, un modèle de simulation des émissions de polluants anthropiques et des gaz à effet de serre issus des activités de consommation énergétique urbaines.
Ce modèle a la particularité d’être centré sur l’individu ce qui permet de prendre en compte les inégalités sociales dans les simulations. «On peut savoir dans notre modèle qui est susceptible d’être impacté par une Zone à Faible Émission» nous explique Arthur Elessa.
Pour en savoir plus sur ce modèle et son utilité dans la lutte contre la pollution atmosphérique, cliquez sur le podcast : Le modèle OLYMPUS, simulation de la pollution atmosphérique.
Bonne écoute !
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