Les procès de la DPJ, tout comme les procès des sorcières, sont des actes de discrimination, de persécution et d'intolérance basés sur des croyances infondées. Les personnes accusées de sorcellerie étaient souvent des marginaux, des femmes célibataires, des guérisseurs ou des individus qui remettaient en question les normes sociales établies. Les procès étaient alors utilisés comme un moyen de contrôler et de réprimer ces groupes ou individus considérés comme indésirables.

Cependant, les procédures judiciaires impliquant la DPJ souffrent d'un manque de rigueur et de fiabilité dans l'évaluation des témoignages et des preuves. De plus, des croyances superstitieuses, une hystérie collective au sein de la DPJ, des pressions sociales et politiques pour créer des individus dociles, l'absence de méthodes scientifiques et même l'utilisation de la menace de retirer les enfants contribuent tous à des condamnations injustes et arbitraires.

Comparativement, la chasse aux sorcières était un phénomène historique dans lequel des personnes étaient injustement accusées de sorcellerie, souvent sur la base de superstitions et de croyances infondées. Les procès des sorcières étaient caractérisés par un manque de preuves et des méthodes d'interrogation et de torture injustes.

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