Aujourd’hui, je veux te parler de l’importance de créer ta propre méthode de guérison.

La vraie transformation, celle qui touche l’âme et change une vie, ne vient pas d’un protocole bien appliqué. Si tu es déjà thérapeute ou que tu aimerais le devenir c’est cette médecine-là que je t’invite à rencontrer, celle que tu portes déjà.

Trop de thérapeutes restent coincés dans la posture du bon élève : ils appliquent les outils appris, cochent les cases, reproduisent les gestes. Mais ils s’éloignent alors de leur essence. Or, ce n’est pas l’outil qui guérit : c’est la vie qui passe à travers toi.

Quand tu oses t’incarner dans ta propre médecine, tu deviens un canal vivant et réceptif. Tes soins deviennent uniques, parce qu’ils émanent de ta fréquence, et c’est cela qui transforme.

On tombe vite dans le piège de la comparaison. Ta médecine est précieuse parce qu’elle est tienne. Plus tu l’acceptes, plus elle grandit. Plus tu t’en écartes en voulant faire “comme les autres”, plus elle se fane.

Crée ta propre méthode, deviens un thérapeute unique

Créer ta méthode, c’est sortir du moule. C’est cesser de croire que ta valeur repose sur ton diplôme, ton protocole, ton outil préféré.

Ta vraie valeur, c’est ta capacité à te laisser traverser. À laisser la vie, l’énergie, Dieu – appelle-le comme tu veux – passer à travers toi pour soigner, révéler, éveiller.

Dans ma formation Transmission, je n’enseigne pas seulement des outils : j’enseigne l’art d’incarner sa propre médecine. D’ouvrir des espaces de guérison sacrée, d’œuvrer pour et avec le vivant.

Un bon thérapeute n’est pas un technicien. C’est un être solide dans sa foi, libre dans sa manière de canaliser.

Quand tu canalises ta propre médecine :

• Tu ouvres des espaces de guérison beaucoup plus profonds, bien au-delà du protocole et des attentes de l’ego.

• Tu travailles avec toutes les dimensions : physique, énergétique, émotionnelle, transgénérationnelle, karmique.

• Tu es capable de dispenser tes soins en présentiel, à distance, en photo, en groupe, en individuel.

• Tu n’es pas limitée par un seul courant énergétique, mais ouverte à tout ce que le vivant peut te proposer

Et surtout : tu es pleinement toi.

Plus besoin de courir après de nouvelles formations, de nouveaux outils pour te sentir légitime. Ta légitimité vient de ton alignement avec toi-même.

Quand je parle de “mes soins”, je sais qu’en réalité… ils ne viennent pas de moi. Je suis simplement le canal par lequel la vie agit.

Quand tu œuvres de ta propre médecine, tu comprends profondément cette vérité : ce n’est pas toi qui guéris. C’est plus grand que toi. Et c’est précisément ce lâcher-prise, cette humilité sacrée, qui rend tes soins puissants.

Créer ta propre méthode, ce n’est pas devenir "le héros" . C’est devenir l’outil humble par lequel la vie s’exprime.

Et crois-moi, la vie est le meilleur des alchimistes.

Devenir un thérapeute holistique aligné avec sa propre médecine, c’est sortir de la masse, rayonner, inspirer, transformer. C’est incarner ton essence, canaliser avec confiance, laisser ton âme danser avec le vivant.

Si tu veux apprendre à trouver ta médecine, à l’incarner, à la mettre au service du monde, sache que c’est exactement ce que je transmets dans Transmission. Toutes les infos ici.

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Une première chute : le déclic

Ma première thérapie a commencé sous le poids d'une relation amoureuse toxique. Mon but initial était de devenir une "meilleure version de moi" pour l'autre. C'était sans savoir que j'allais, en réalité, me rencontrer moi-même. Ce que je croyais être des défauts à corriger pour plaire, étaient en fait les conséquences profondes d'un manque d'estime de soi, de limites poreuses et de schémas de dévalorisation répétés.

Des soins en cascade : la découverte de soi

J'ai enchaîné les soins toutes les semaines pendant des années. J'avais l'impression de déconstruire chaque parcelle de mon identité pour faire place à ma vérité. J'ai compris que je donnais à l'autre ce que je refusais de m'offrir à moi-même. Que je m'effaçais pour mériter d'être choisie. Que ma blessure de rejet m'empêchait de poser des actes alignés.

Les formations : reconnecter aux clairs, aux esprits, à la nature

Mes premières formations n’avaient pas pour but d’en faire un métier. Elles m'ont redonné mes propres clés. J'ai réappris à ressentir, à discerner, à écouter ma voix intérieure. Elles m'ont permis de me déconnecter de la peur pour me reconnecter à la sagesse du vivant.

La blessure du masculin, la peur de l'engagement

Lorsque j'ai rencontré mon compagnon actuel, tout ce que j'avais fuyé m’a été servi sur un plateau. J'ai dû faire face à mes blessures du féminin et du masculin massacrés, à mes peurs de la perte de liberté, à mes croyances autour du couple. J’avais érigé un masculin guerrier pour me protéger, mais il était temps de réintégrer la douceur.

Vers le sacré : spiritualité, rites, loi du vivant

Après la phase de thérapie émotionnelle, j'ai basculé dans l'enseignement du subtil. J’ai exploré les lois du vivant, les grands principes de la création, les guides, les codes de l'âme. J’ai reçu, canalisé, intégré. Ce fut mon passage de l’étudiante à la magicienne.

L'entrepreneuriat : une voie initiatique

Travailler sa voix, son mérite, sa relation à l’argent. Déconstruire l’idée qu’aider doit être gratuit. Comprendre que le soin est une transmission précieuse qui mérite reconnaissance. L'entrepreneuriat est un miroir féroce, qui fait remonter les peurs de réussir, de briller, d'être vue.

Accompagner autrement : un modèle complet

Aujourd'hui, je transmets tout ce chemin dans mes accompagnements. Je crois qu'on ne peut pas être un thérapeute aligné sans avoir travaillé sur soi. Et on ne peut pas avoir une entreprise vibrante sans une offre alignée à notre vérité. J'enseigne aux thérapeutes à se connaître, à guérir, à transmettre et à rayonner. Mon modèle n’est pas celui du "business qui cartonne", mais celui du coeur incarné.

Et maintenant ? La vrai puissance n’est pas dans les dons, il est dans la responsabilité qu’on prend sur soi. Dans l’engagement qu’on met à être entièrement vivant. Ecris-moi pour qu'on puisse discuter ici

J’ai créé TRANSMISSION, une formation de 15 mois pour devenir thérapeute holistique.

Tu peux m’écrire ou aller lire les infos de la formation directement ici : https://christelcelisse.systeme.io/transmission

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Voici les 5 vérités que entendre avant de devenir thérapeute.

1. Guérir les autres ne remplacera jamais ta propre guérison

C’est LE point le plus fondamental. Tu ne peux pas accompagner quelqu’un là où toi-même tu refuses d’aller. Tu ne peux pas parler de libération émotionnelle si tu fuis encore tes propres tempêtes. Tu ne peux pas inviter quelqu’un à plonger dans ses ombres si tu fais tout pour fuir les tiennes.

Vouloir devenir thérapeute sans avoir engagé son propre processus thérapeutique, c’est dangereux. Pour toi. Pour l’autre. Pour la justesse du soin. Parce que sans ce travail personnel, tu risques de faire des projections, de t’identifier, de fausser la lecture de l’autre.

2. Tu ne peux pas sauver les gens (et ce n’est pas ton rôle)

L’idée de “sauver” quelqu’un est une illusion dangereuse. Et pourtant, combien de thérapeutes tombent dans ce piège ? Combien se sentent valorisés par le fait de “régler” les problèmes des autres ?

Mais tu ne peux pas faire le travail à la place de la personne. Ton job, c’est d’accompagner, de tenir la lumière, pas de porter les valises à sa place.

Vouloir sauver, c’est prendre son pouvoir. C’est maintenir l’autre dans une posture de dépendance.

Être thérapeute, c’est redonner la puissance à l’autre, pas la prendre entre ses mains.

3. Être thérapeute, c’est aussi (et surtout) être entrepreneur

On ne le dit pas assez. Être thérapeute à son compte, c’est devenir entrepreneuse. Et pas juste faire des soins toute la journée.

Tu vas devoir apprendre à parler de toi. De tes offres. De tes valeurs. À créer du contenu, à gérer ton administratif, à vendre. Et si tu ne travailles pas ton rapport à l’argent, à la visibilité, à ta légitimité… tu risques de t’auto-saboter.

Les soins, ce n’est qu’une partie visible de l’iceberg. Tout le reste, c’est la posture, la stratégie, la cohérence, la clarté, l’incarnation de ton message.

4. Tu n’es qu’un canal. L’énergie passe à travers toi, pas grâce à toi

Arrête de croire que c’est toi qui fais. Ce n’est pas toi qui guéris, ce n’est pas ton outil qui transforme. C’est la vie qui agit, l’univers qui passe. Et plus tu laisses l’énergie circuler librement en toi, plus tu deviens un canal clair, juste et humble.

La spiritualité n’est pas un moyen de briller. C’est un chemin de service. C’est toi l’outil, pas l’inverse.

5. Il ne faut pas avoir de “don” pour être thérapeute

Tous les êtres humains ont du magnétisme. Tous peuvent développer leur clairvoyance, leur clairaudience, leur intuition. Ce ne sont pas des super-pouvoirs, c’est notre nature. On l’a juste oubliée.

La différence entre quelqu’un qui “a un don” et quelqu’un qui ne l’utilise pas, c’est souvent le travail personnel, l’écoute, la présence à soi. Pas autre chose.

Et oui, ça demande de plonger dans ses entrailles. De traverser ses morts symboliques. De s’ouvrir à ce qu’on ne comprend pas encore.

Mais ça n’a rien à voir avec une étiquette. Un vrai thérapeute, ce n’est pas quelqu’un qui brille parce qu’il “sait”. C’est quelqu’un qui est assez courageux pour se remettre en question sans cesse.

Et maintenant ?

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