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Retrouvez avec joie et un brin de nostalgie les aventures de la délicieuse mais si terrible Sophie. Princesse des bêtises, elle ne peut rien faire sans que cela se termine par une catastrophe ! Loin d'être découragée, la petite recommence tous les jours !

Sophie est une petite fille adorable mais elle fait des bêtises, beaucoup de bêtises, les plus belles bêtises jamais commises ! Il ne se passe pas un jour sans qu'elle ne se lance dans une nouvelle aventure qui se termine toujours en catastrophe.

Charles habite en Écosse, chez sa cousine, l'abominable madame Mac Miche, qui le prive de tout et le punit sans arrêt. Charles résiste, et avec l'aide de Betty, la bonne, trouve toujours de bonnes astuces pour se venger ! Il paraît qu'à la pension Old Nick, où madame Mac Miche le fait alors enfermer, on rit encore des tours qu'il a joués au directeur et aux maîtres.

Décidément, les idées de Sophie tournent toujours à la catastrophe ! Avec ses frères, Léonce et Arthur, elle teint un mouton en noir, brûle les poils du chien Bijou, et manque de mettre le feu à sa robe... Même quand ses cousins se réunissent pour raconter des histoires, la fillette ne peut s'empêcher de leur jouer des tours ! Pourtant, Louis parvient à captiver la malicieuse Sophie en racontant que sa tante, une nuit, a trouvé un cadavre sous son lit...

Cet été-là, il y a toute une compagnie au château de Fleurville : Camille et Madeleine, les fillettes de la maison, Marguerite, Sophie. Et on attend encore Léon et Jean, et aussi le petit Jacques. Tout ce joli monde s'apprête à passer des vacances animées et pleines de surprises. Mais de là à accueillir des vrais naufragés!

Blaise est triste depuis que les anciens châtelains sont partis avec leur fils, son grand ami Jacques. Au château, les nouveaux propriétaires sont attendus sans impatience. Comme si, par un étrange pressentiment, on connaissait déjà trop ceux qui arrivent…

Cadichon, comme tous les ânes, n'en fait qu'à sa tête. Mieux, c'est ce qu'on peut appeler une forte tête. Lassé des mauvais traitements que lui infligent ses maîtres, il décide un beau jour de mener son existence à sa guise, quitte à rendre ici ou là un service ou deux.

Que de rencontres pour Jacques et Paul depuis leur arrivée à l’auberge de L’Ange Gardien ! Car on trouve dans les auberges les personnages les plus inattendus : une mère adoptive, un père de sang et même, pourquoi pas, un vieux général russe qui décide de vous emmener sur ses lointains domaines…

Paris ? Tout le monde y va. Il n’y a que Simplicie et Innocent pour n’y être jamais allés. Vraiment, c’est trop bête : nos deux amis sont bien décidés à quitter leur douce mais plate campagne pour aller voir de plus près les piquantes merveilles de la grande ville…

Que de rencontres pour Jacques et Paul depuis leur arrivée à l’auberge de L’Ange Gardien ! Car on trouve dans les auberges les personnages les plus inattendus : une mère adoptive, un père de sang et même, pourquoi pas, un vieux général russe qui décide de vous emmener sur ses lointains domaines…

Grand cœur mais petite tête, Gribouille parle à tort et à travers. Pour réparer les bêtises de son nigaud de frère, Caroline a vraiment besoin de tout son courage et de toute son affection. Mais il n'est pas dit que Gribouille ait forcément tort, ni qu'il comprenne toujours tout de travers...

Pourquoi voit-on si peu Sophie au salon ? C'est que Sophie est souvent consignée dans sa chambre. Et pourquoi Sophie est-elle si souvent consignée ? C'est que Sophie fait des bêtises, énormément de bêtises, les plus belles bêtises jamais commises !

Camille et Madeleine de Fleurville, et leur amie Marguerite de Rosbourg, sont trois adorables petites filles qui font la joie de leurs chères mamans.Elles jouent souvent avec leur voisine Sophie, qui accumule les bêtises. Battue par sa méchante belle-mère, la petite orpheline est bien malheureuse. Aussi, quelle joie quand sa marâtre part en voyage et la confie à Mme de Fleurville ! Sophie s'efforce alors de mériter l'amour de sa nouvelle famille…

On ne présente plus la comtesse de Ségur, auteur des célèbres "Malheurs de Sophie" qui édifièrent des générations d'enfants. "Le Général Dourakine" est un roman pour enfants qu'elle fit publier sous forme de feuilleton en 1863 pour faire suite à "L'Auberge de l'Ange Gardien". Le roman relate les souvenirs qui ont profondément marqué la jeune Sophie, future Comtesse, notamment le servage en Russie et l'usage du knout du général envers ses serfs. Cet enregistrement original en présente les meilleurs extraits.

Rosette, fille cadette de roi, vit délaissée comme une pauvre servante à la campagne. Un jour cependant, elle est invitée au mariage de sa princesse de sœur. Avec l'aide de sa marraine qui est une fée, Rosette surmontera toute la jalousie et le rejet de sa famille pour faire tourner toutes les têtes de la cour.

La Comtesse de Ségur nous livre ici quelques récits qui avaient tant amusés ses petites-filles. L'on y découvre des enfants bien curieux, bien courageux, bien vertueux, avec leurs bonnes et mauvaises fées. Elles les feront passer par des épreuves bien difficiles.

L'âne Cadichon rassemble ses souvenirs et nous raconte sa vie avec humour et tendresse. Tantôt truculentes, tantôt tragiques, ses mésaventures se succèdent, depuis sa fuite de la ferme des haies, où il était constamment battu et humilié, jusqu'à son adoption par une excellente châtelaine entourée de ses neuf petits enfants. Le marché, la course à travers bois, l'incendie, la caverne des brigands, la chasse, la vengeance, le pardon : autant d'épisodes inoubliables qui font de ces "mémoires d'un âne" un des romans les plus savoureux de la comtesse de Ségur.

Livre audio réalisé d'après une adaptation de l'œuvre de la Comtesse de Ségur. « Raconte-moi une histoire de quand tu étais petite ». Ce que réclament si souvent les enfants à leur mère et à leur grand-mère, eh bien, la Comtesse de Ségur, née Rostopchine, l'a fait en publiant en 1859 Les Malheurs de Sophie. Pouvait-elle alors imaginer, dans son château de Normandie, en prenant la plume pour le plaisir de ses petits-enfants et des enfants de cette époque, que les lecteurs succéderaient aux lecteurs, de génération en génération ?