Dans cette Minute Marine, je te parle d’un parallèle un peu inattendu : pour moi, l’entrepreneuriat solo, c’est comme une colo.

Je parle pas de business model ou de chiffre d’affaires, mais de ce que ça provoque en nous.

Notamment du fait qu’en tant qu’indé, on est poussé à aller vers les autres.
C’est ce qu'on attend de nous, entrepreneurs.

Du coup je trouve que c'est hyper libérateur. Notamment quand, à la base, on a du mal à oser faire le premier pas.

Ça m’a fait penser à ce que me disait Pauline : "Le fait d’être freelance m’a enlevé des freins mentaux”.

Et toi, tu trouves que ça t’a changé ? Que ça t’a décoincé sur certains trucs ?

(Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin 😉)

À très vite,

Marine 🤘

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Dans cette Minute Marine, je reviens sur une discussion un peu piquante avec un collègue de coworking.

Pour lui, les freelances ne sont pas des entrepreneurs. Pourquoi ? Parce qu’ils ne vendent pas de produit, qu’ils travaillent seuls et que leur but, c’est de se rémunérer, point.

J’ai eu envie de creuser ça. Et je me suis souvenue d’un moment précis : celui où j’ai arrêté de fixer mes tarifs uniquement en fonction de mon temps. Ce moment où j’ai commencé à réfléchir en termes de marge, d’investissement, de développement.

Est-ce que c’est ça, le vrai tournant ?

Selon toi, qu'est-ce qui fait qu'on est des entrepreneurs ou non ? Tu te considères comme un·e entrepreneur·e ?

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À très vite,

Marine 🤘

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Aujourd’hui, mon tsunami, je veux te parler d’un truc simple… et pourtant pas si évident :
savoir dire ce qu’on aime vraiment faire.

Pas juste “j’aime écouter des podcasts” ou “j’aime créer du contenu” (niveau 1).

Mais vraiment isoler ce qui nous fait frétiller, ce qui nous fait perdre la notion du temps.

Ce sujet m’a sauté au visage en lisant la newsletter bilan de Shanty (Shanty Biscuits) après sa campagne “Le Fonds du gouffre”.
Elle y partage ce qu’elle a découvert sur elle-même : ce qu’elle adore vraiment, ce qui la fait vibrer — au-delà des résultats de l’opé.

"Pourquoi c'est important?!" t'interroges-tu sans doute.

Parce que quand on sait ce qu’on aime profondément, la seule vraie question devient :
Comment je peux en faire mon métier ? Comment je peux l’intégrer à ce que je propose ?

À toi de me dire: qu’est-ce que tu aimes vraiment faire ?
(Plus c’est spécifique, plus j'aime !)

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Marine 🤘

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