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Olympe et Tatan sont deux sœurs âgées vivant dans le même immeuble. Tous les ans pour Noël, elles reçoivent leur famille ; le repas se passe toujours dans une ambiance électrique, et cette année ne dérogera pas à la règle.

Agnès vient tout juste de divorcer. Elle décide de changer de vie et de quitter Paris. Avec son amie Clémentine, elles achètent une maison à la campagne. Mais le soir de son arrivée, Agnès se demande si elle a fait le bon choix.

Pierre est à l'hôpital. Le temps d'une insomnie, il partage avec son voisin de chambre ses doutes, ses angoisses. L'un et l'autre ne savent pas s'ils vont s'en sortir, et trouvent du réconfort dans la discussion avec l'autre... jusqu'à l'arrivée du petit jour et de la dure réalité.

Florian et Charles sont frères. Le premier n'a jamais travaillé de sa vie et vit au crochet du second qui a fondé une maison d'édition. Charles est divorcé et a un fils, Julien, un jeune homme qui s'éloigne de plus en plus de son père... et semble au contraire se rapprocher de son oncle.

Fabienne est passionnée d'équitation. Aussi, quand sa jument meurt, ses parents décident-ils de lui offrir un nouveau cheval : Hautain. Mais celui-ci s'avère être incontrôlable ; Fabienne ne désespère pas de l'apprivoiser, mais la tâche n'est pas aisée et devient de plus en plus dangereuse.

Dans cette nouvelle, deux destins se croisent. Celui de Sabine, dont le couple bat de l'aile et qui se réfugie à Honfleur pour faire le point, et celui de Jag, qui connaît bien la maison dans laquelle elle a trouvé refuge. C'est là que vivait Laetitia, l'amour qu'il n'a jamais pu oublier. L'une craint de passer à côté du bonheur, l'autre a peut-être laissé le sien lui échapper.

Jean-François et sa femme Clémence sont passionnés d'automobile. Mais depuis la naissance de leur fils, cette dernière laisse sa passion de côté. Aussi, lorsque Jean-François obtient une accréditation pour se rendre aux 24 heures du Mans, ressent-il la culpabilité de laisser sa femme avec leur jeune fils.

Dans cette nouvelle touchante, une femme nous raconte sa passion de l'équitation qui la dévorait quand elle était jeune, les cours qu'elle séchait pour aller s'entraîner, le champion en devenir qu'elle montait alors... et le drame qui un jour survint.

Marianne est la mère de Vincent, Sophie et Malo. Ce dernier est parti de la maison très jeune pour voyager à travers le monde. Tous les ans, pour son anniversaire, Marianne et ses deux aînés se réunissent, espérant le voir arriver, et tous les ans, il leur fait faux bond... Et cette année ?

The 12 Lays of Marie de France offer one of the most striking collections of short narrative poems of the 12th century - two centuries before Chaucer. Written in Anglo-French, they contain beguiling and entertaining stories of love and romance, of chivalry and adventure with sometimes even a magical twist. They are especially unique in early literature by being ascribed to a female poet, Marie de France: in the very first Lay - 'Guigemar' - is the introductory line: ‘Hear my Lords, what Marie says, who does not wish to be forgotten in her time.’

"Je veux vous expliquer comment une famille, un petit groupe d'êtres, se comporte dans une société, en s'épanouissant pour donner naissance à dix, à vingt individus, qui paraissent, au premier coup d'oeil, profondément dissemblables, mais que l'analyse montre intimement liés les uns aux autres. L'hérédité a ses lois, comme la pesanteur." Emile Zola.

This1854 novel focuses on a portrait of Mademoiselle de Malepeire, which hangs in Dom Gérusac's home in the countryside of southern France just before the first French Revolution. Noted for her beauty, Mademoiselle de Malepeire had been painted by her well-to-do suitor, who was enthralled with her beauty and able to disregard her cold and haughty demeanor. Her eventual love story is pieced together in Dom Gérusac's home as many unexpected guests join him, and Mademoiselle de Malepeire's dramatic new identity is revealed.

De magnifiques portraits de femmes. Le 12 avril 1978, une série de tableaux enflamme les enchères chez Sotheby's. Pourquoi son acheteur choisit-il de rester anonyme ? Qu'a-t-il à cacher ? Quarante ans plus tard, à New York, madame Janik conserve précieusement les toiles dans son modeste appartement. Sur chacune d'elles, une adolescente blonde, à la beauté froide et envoûtante, dont le mystère lui résiste encore.

Une exploration mystique de la nature humaine. Lorsqu'une femme claque la porte et s'en va, elle emporte le monde avec elle. Adem Naït-Gacem l'apprend à ses dépens. Ne supportant pas le vide laissé par le départ de son épouse, l'instituteur abandonne ses élèves et, tel un don Quichotte des temps modernes, livré aux vents contraires de l'errance, quitte tout pour partir sur les chemins.

À l'attaque ! En avant mes braves soldats ! Je suis touché ! Continuez sans moi ! Je vais vous retarder ! Où sont mes entrailles ? Ainsi vont les conversations sur le champ de bataille. Cependant, si l'on prend le temps un instant de méditer dans cet environnement pittoresque et hostile, une question se pose : que nous disent les livres qui racontent des guerres fictives ? En quoi s'affranchir du réel et de l'Histoire permet de parler du réel et de l'Histoire ?

"Alors que vous êtes pépère dans le métro à écouter de la musique, vous sentez une présence - quelque chose ou quelqu'un - vous épier. Vous n'osez pas vous retourner, car vous avez vu suffisamment de films qui collent les miquettes pour savoir que dès qu'on se retourne, on risque d'avoir très mal. Par chance, cette crise de paranoïa ne durera qu'un temps : le temps pour le musicien de métro de passer près de vous, et de vous offrir sa version, toute personnelle, du "Temps des fleurs".

ET NON ! Ce n'est pas Michel qui commence, mais Quentin avec son petit bouquin ! HAHA, vous voilà bien feintés ! Vous accusez le coup, vous bégayez, vous voyez un peu flou. La tête qui tourne, encore sous le choc, vous essayez de comprendre. Eh bien c'est simple : nous venons de manipuler cette émission ! Dans cet ultime épisode d'Hernanani, nous allons mettre en lumière quelques aspects de la fourberie littéraire, passer en revue quelques astuces de nos grands écrivains pour marabouter leur lectorat.

Laissez-nous rêver, chantaient les poètes-philosophes du groupe Gold. C'est vrai, ça, le rêve a toute sa place dans la littérature, il faut faire quelque chose ! Oui faisons-le, ce quelque chose ! Et dans la bonne humeur ! N'ayons pas peur : tels des Aladins lettrés sur nos tapis volants, allons vers le bleu des rêves, allons vers le merveilleux des rêves, allons vers ce nouveau monde en couleurs où personne ne nous dit qu'il est interdit de croire au bonheur !

"Tchou-tchou !" faisait le petit train en sinuant parmi les vallées de notre beau pays. Aujourd'hui, propulsé par l'électricité, il ne fait plus de fumée, ni plus aucun bruit... Il fonce et nous n'apercevons plus qu'à peine son beau fuselage chromé. Où es-tu, petit train ? Les écrivains te pleurent dans leurs livres, les écrivains t'admirent, les écrivains t'aiment. Petit train, ta machine superbe nous ouvre les yeux sur le monde avec un maximum de confort. Petit train, tu es notre porte sur l'inconnu. Petit train, dis-nous qui tu es !

Qui peut résister à l'odeur du barbecue durant une belle après-midi d'été, alors que les enfants chevauchent un crocodile gonflable dans une piscine elle-même gonflable ? Personne, et sûrement pas les écrivains, qui les premiers succombent à l'odeur délicieuse des mets cuits au charbon de bois. Tels des Jean-François Piège de la littérature, nous allons aujourd'hui, en tout bien tout honneur, sublimer votre tubercule stylistique !